mercredi 28 juillet 2010

Ma première journée de travail était sublime! Bien entendu tout comme d'habitude, cela a débuté avec un certain stress, ce qui est normal ne connaissant pas la situation ni avec qui j'allais travailler.

Je débarque. Station Verdun, midi 30. J'ai à peine le temps de me procurer ce dont j'ai besoin avant de débuter; un peu de nourriture. Le ciel est grisâtre et l'air se fait lourd, mais rien ne m'enlève la hâte de me rendre chez la dame. Je marche tête haute vers le domicile de Monique.

Petite dame, les yeux pétillants de vie. La pièce avoisinante au couloir est le salon, rempli de livres qui débordent de la bibliothèque. Sur la table, le sofa, la table, il y en a partout. Les deux chats dorment paisiblement pendant mon entrée pourtant précipitée. Je me présente, elle est déjà ravie de m'avoir dans sa demeure.

Monique aime: les livres, les livres et par dessus tout, les livres. Souvent elle les prend, les déplace afin de bien les ranger, enfin.

Elle aime aussi la musique classique. L'opéra, les casse-tête et la cuisine. Une dame âgée plutôt de très bonne compagnie, très gentille.

Je vais faire l'épicerie avec elle pour le souper. Plus de plats congelés pour elle, voyons. C'est le temps de bien manger, manger santé. Salade de légumes frais et pâtes au pesto et fromage avec une compagnie plaisante. :) Je coupe les légumes, elle ne se rappelle plus trop comment le faire; je lui montre. Elle m'aide pour préparer la salade; je fais les pâtes. On discute de tout et de rien! Prendre une marche lui a fait du bien, elle qui demeurait seule et enfermée toute la semaine.

Un casse-tête égyptien! Pour moi, c'est l'occasion de la divertir tout en travaillant ma patience (750 morceaux..!). Ouf, compliqué ce casse-tête.. Un vrai casse-tête, c'est le cas de le dire!

Elle me répète des questions plusieurs fois, mais ce n'est pas grave. J'ai du plaisir
à discuter et à passer du temps avec Monique. Oui! Ce n'est pas un travail, c'est comme du bénévolat pour moi, je ne peux à peine y croire. Ce n'est réellement pas comme en CHSLD! FINI les longues heures de travail pratiquement non rémunérées! Et j''ai VRAIMENT du temps à passer avec elle, je peux réellement sentir l'accomplissement personnel dont je cherchais.

J'ai hâte de me
rendre au - travail? - ce jeudi. Vraiment. De créer des activités avec elle!
Oui. Je vais apporter des feuilles ainsi que des crayons de couleur, nous allons aller au parc tout près de chez elle (rue de l'Église coin Moffatt) et dessiner en nature puisqu'il annonce une belle température. :) Ensuite, pique-nique! :D


Cela fait du bien de faire ce que l'on aime.



mardi 20 juillet 2010


Le monde est une épave de rêves, une constitution de désirs
Piétons marchant au soleil levant
Les automobilistes brusquent l'instant
La ville galope à un rythme ahurissant

Mes mains déposées je touche le gazon fraichement mouillé
J'y dépose jambes, tête et pieds
Les nuages défilent lentement comme mon souffle léger
Puis le vent sait bien caresser ma chevelure foncée





dimanche 4 juillet 2010

On ne peut bloquer nos pensées. Elles sont comme des vagues dans l'océan et nous ne pouvons guère les arrêter. Par contre il existe ce moyen que j'ai tenté et c'est la contemplation de mon esprit; l'observation de ces mécanismes d'auto-défense que je me suis créée.

Qu'as-tu comme pensée?
Es-tu réellement certain(e) que c'est vrai?
Lorsque tu crois à cette pensée, quelles émotions ressens-tu?
Crois-tu qu'il y a une raison paisible de penser cela?

Souvent nous nous créons des concepts et nous y croyons. Notre angoisse ainsi que notre peur nous font réagir et nous VOULONS croire à ces situations. Mais ce n'est pas la réalité.

Certains individus croient qu’ils ne sont pas responsables de leurs pensées. Celles-ci leurs viennent à l’esprit sans qu’ils les aient réellement désirées. Ces individus se considèrent comme étant plus ou moins à la merci de leurs pensées. Si ces pensées sont positives, ils en récoltent les bénéfices; si, au contraire, elles sont négatives, ils en subissent les conséquences néfastes.

Il faut savoir qu’il est possible de bien gérer nos pensées pour faire en sorte de n’accueillir en nous que celles qui font du bien en matière de santé. Il est capital de réaliser qu’on peut écarter les pensées qui sont négatives. Lorsque de telles pensées se présentent à l’esprit, on peut immédiatement les éloigner en les remplaçant par d’autres plus positives.

La personne qui prend ainsi l’habitude de bien gérer ses pensées, sera évidemment beaucoup moins affectée par les pensées négatives. Même si celles-ci se présentent souvent, le fait de les écarter immédiatement et systématiquement ne leur permet pas d’exercer une emprise sur nous. C’est en ce sens qu’on peut dire qu’il est possible de contrôler adéquatement nos pensées. Il suffit de leur prêter une attention soutenue et éclairée.

Lorsqu’il est question de pensées, il convient de bien en discerner les différentes facettes. Dans ce qu’on appelle en général nos pensées, il faut évidemment inclure nos impressions, nos sentiments et nos émotions. En fait, il est question ici de tout ce qui peut nous influencer psychologiquement.

Dans l’approche HYGIONOMISTE® (on peut lire divers documents portant sur cette approche en cliquant à l’endroit approprié sur la page d’accueil du présent site), il est question des facteurs naturels de santé. Parmi ces facteurs, il est fait mention du comportement psychologique, de la maîtrise des émotions et de l’aspect spirituel. Ces trois derniers facteurs touchent au contrôle de nos pensées.

L’individu qui exerce un bon contrôle de ses pensées, voit nécessairement sa santé s’améliorer. Un tel contrôle lui évite de nombreux stress inutiles. L’individu parvient ainsi à mieux digérer, à mieux assimiler, à mieux éliminer, à mieux récupérer et à mieux mobiliser son pouvoir d’autoguérison.. Au lieu de perdre de précieuses énergies en se laissant envahir par des pensées négatives, il dispose d’une énergie supplémentaire qu’il peut consacrer à diverses fonctions vitales.

Nos pensées, nos impressions, nos sentiments, nos émotions devraient toujours être orientés vers ce qui est bon, ce qui est bien et ce qui est beau. Nos pensées doivent nous diriger vers l’amour, l’harmonie, la sérénité et le bonheur. En contrôlant dans ce sens la qualité de nos pensées, nous ne pouvons qu’en récolter les bienfaits. Les personnes qui désirent jouir d’une bonne santé, doivent donc bien gérer leurs pensées, leurs impressions, leurs sentiments et leurs émotions.


Du contrôle des pensées à la gestion des émotions

Le mental et la vie sont les deux effets corrélatif du même phénomène” disait le Bouddha. Nous créons tous notre propre réalité ! Le savoir c’est bien, l’appliquer c’est mieux ; sauf que ce n’est pas si simple. Comme pour tout il faut de l’entraînement. Et cet entraînement commence par la méditation. (Le calme mental) La méditation est excellente pour le contrôle des pensées et la gestion des émotions. Je dirai même plus c’est la base ! Ce n’est pas pour rien que les traditions l’utilisent depuis la nuit des temps pour calmer, ralentir ou concentrer le flux nerveux. (Chi)

Contrôler le corps aide à apaiser l’âme, ce qui permet à l’être tout entier de se concentrer en vue de la projection et de l’action afin de permettre la réalisation de choses positives. Contrôler notre présent permet de mieux se projeter dans l’avenir. La visualisation consciente et positive nous aide à concrétiser nos idées ; nos pensées, et à mieux gérer nos aspirations, nos émotions en vue de leur matérialisation dans un futur proche. Nous sommes le centre du monde et celui-ci est le reflet de nos pensées. Demande et il te sera donné, frappe et l’on t’ouvrira nous enseignent encore une fois toutes les traditions. (Je suis) La loi de l’attraction nous enseigne également par “le génie” qu’il ne dépend que de nous de demander pour que celui-ci réalise nos vœux.

Parfois nous pensons à des choses sans importance, et comme par magie et sans qu’on sache pourquoi celles-ci se matérialisent dans un labs de temps très court. C’est si souvent tellement dingue que nous en sommes les premiers surpris ! Je pense que c’est une question d’énergie ; pour faire court, une forme de fréquence vibratoire, elle-même amplifié par l’intention. Le tout dans un total détachement !

Il est dit que nous sommes dans une période (2009) ou il y a accélération de la conscience. Nous sommes dans une période où l’humain est capable de tout réaliser. Nous avons en chacun d’entre nous la force et le pouvoir de matérialiser ce que nous souhaitons arriver de tout cœur dans nos vies. Je me répète : La base (le secret), c’est la conscience ! Le secret réside dans l’état de conscience. Il ne dépend que de nous de le comprendre, pour enfin voir se réaliser ce que nous souhaitons tant. Sachant bien sûr que l’intention et l’attraction vont de pair.

La conscience concentre l’énergie au niveau de l’esprit, c’est l’intention de l’âme.



Quelques semaines sont passées depuis mon avortement et je m'en porte très bien. J'ai réussi à comprendre que c'était pour le mieux et que je n'était tout simplement pas prête. Je me sent plus sereine que jamais. Une étape difficile à surmonter mais que je suis tout de même contente d'être passée à travers; dans le sens qu'elle m'a rendue plus forte.

Nous ne pouvons vivre d'autres moments que le moment présent. J'aime aussi énormément les citations de Krishnamurti.

L'éducation conventionnelle ne nous permet d'atteindre que très difficilement à une pensée indépendante. La conformité mène à la médiocrité.

Tenter de résoudre les nombreux problèmes de l'existence à leurs niveaux respectifs, isolés tels qu'ils sont dans leurs catégories, indique un manque complet de compréhension.
L'instruction ne doit pas être un simple entraînement de l'esprit. Entraîner l'esprit c'est le rendre efficient, ce n'est pas le mener à la plénitude.

L'intelligence est la capacité de percevoir l'essentiel, le « ce qui est ». Éveiller cette capacité en soi-même et chez les autres, c'est cela l'éducation.

L'éducation devrait éveiller la capacité de se percevoir soi-même et non une complaisance pour l'expression de la personnalité.

L'éducation dans le vrai sens de ce mot consiste à comprendre l'enfant tel qu'il est, sans lui imposer l'image de ce que nous pensons qu'il devrait être.
Avoir un esprit ouvert est plus important qu'apprendre ; et nous pouvons ouvrir notre esprit, non en le bourrant de connaissances, mais en étant conscients de nos pensées et de nos sentiments, en nous examinant attentivement nous-mêmes, en percevant les influences qui nous entourent, en écoutant les autres, en observant les riches et les pauvres, les puissants et les humbles. La sagesse n'est pas le fruit de la peur et de l'oppression ; elle surgit lorsqu'on observe et comprend les incidents quotidiens, dans les relations humaines.
Ce n'est que dans la liberté individuelle que l'amour et l'humain peuvent fleurir ; et seule une éducation basée sur la connaissance de soi peut offrir cette liberté.
Tant que nous prendrons le succès pour but, nous ne serons pas affranchis de la peur, car le désir de réussir engendre inévitablement la crainte d'échouer. Voilà pourquoi l'on ne devrait pas enseigner aux jeunes le culte du succès. La plupart des personnes recherchent le succès sous une forme ou une autre, que ce soit sur un court de tennis, dans le monde des affaires, ou en politique. Nous voulons tous être parmi les premiers, et ce désir ne cesse d'engendrer des conflits en nous-mêmes, ainsi qu'entre nous et nos voisins. Il mène à la compétition, à l'envie, à l'animosité et finalement à la guerre.
Le monde que nous avons créé est si superficiel, si artificiel, si laid, quand on le regarde derrière le rideau ! Mais nous décorons le rideau en espérant que, d'une façon ou d'une autre, les choses s'arrangeront à peu près.