La nuit se réveille doucement
Neige scintillante au vent partant, l'hiver se manifestant
Mes yeux posés sur le verre de la porte j'écoute
Tous ces bruits de la ville qui se sont éteints
Et ma peau qui se mouille, goutte par goutte.
J'éteins le phare qui mine tout, les yeux plus que lourds
Je chéris sans remarque, l'attaché se meurt en moi.
Et si je basculais la barrière?
Qu'en serait-il si j'implorais le monde et la grâce que l'on m'a volé?
Si je dépérissais dans un antre de désistement,
A force de secourir, de s'éprendre mais que toi,
Toi, insaisissablement ne fais que désavouer la beauté de ton règne..
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire