vendredi 10 décembre 2010



Mes pensées me contrôlent, elles croient être la réalité lorsqu'elles ne le sont pas du tout.
Je les exorcise, je les maîtrise.
Je les sort de ce corps qui ne veut pas d'eux.
En fait, je vous accepte, chères pensées.
Mais vous ne me servez pas à grand chose.
À quoi me servez-vous, mis à part m'apporter de l'anxiété, de l'insécurité?
Mon cerveau se laisse prendre par l'escalier qui mène aux pensées négatives.
Et il croit à ces pensées.

Je suis lumière, je n'ai pas à suivre ce que mon ego me dit.

samedi 9 octobre 2010


Jeudi matin je suis partie, New York comme destination. Seule motivation étant le spectacle de Yann Tiersen? Pas tellement, j'avais tout de même en tête de visiter la métropole dont on me parlait si souvent. Bien évidemment toutes ces destinations "attrape-touriste" ne m'intéressaient guère.

En route vers New York, j'ai été émerveillée par la beauté et la splendeur des paysages. La nature savait montrer des siennes et les couleurs du monde reflétaient dans les arbres jusqu'au plus profond des dunes. Le soleil brillait si fort que je n'arrivais à peine à terminer la lecture de "l'Alchimiste", qui parlait de signes aussi forts que celui des nuages et des couleurs avoisinantes. Les monts d'Adirondack; une beauté spectaculaire qui démontre que Dame Nature a toujours eu autant d'imagination. Romantique et pure, dame nature.
Ma promenade débuta aussi tôt que je sortit de l'autobus pour me rendre à l'auberge. Je découvrit aussitôt le métro de New York et son fonctionnement, mais aussi le quartier où se situait mon auberge de jeunesse... qui était tout près d'Harlem sans que je le sache; vous pouvez donc imaginer quel genre de personnes se trouvaient près de là. Je peux dire que c'était en soirée et que j'avais un peu peur.
Une belle petite chambre dans l'auberge de jeunesse où je me trouvais, sur Amsterdam coin 103e. Enfin j'ai eu la chance d'organiser un voyage hors du Canada et cela, en compagnie d'une seule et unique personne: moi-même. J'ai l'esprit d'une vagabonde, d'une bohémienne, et cela m'a donné la piqûre de partir en pèlerinage au plus loin de cette planète dans les montagnes et les découvertes les plus précieuses.

Ma chambre à l'auberge de jeunesse
Aussitôt mes choses placées dans mon petit casier, je me suis rendue sur Times Square pour profiter enfin des plaisir de NY. Je fût surprise dès mon arrivée par le mouvement dans la rue, les innombrables publicités clignotantes d'un coin à un autre, des taxis jaunes roulant à toute vitesse afin d'attraper le prochain client, des dizaines de potentiel jetant un regard à chaque piéton, de tous ces touristes comme moi qui étaient étonnés, appareil photo à la main. Un clic par ci, un clic par là, Times Square volait la vedette à tous ces Harlem et Bronx qui demeuraient dans la noirceur de New York. Mon ennui du monde marketing et des "attrapes-touristes" partît aussitôt que la splendeur des couleurs m'envahit. On annonçait d'un côté à l'autre que McDonalds, Chicago, Kodak, Virgin, Coke & Ipod sont les produits à se procurer.
Je me concentrait à avancer dans la bonne direction ainsi que de visiter parfaitement chaque coin de la ville que je parcourais. Je ne voulais pas me donner de défi et de faire chaque chose que j'avais planifié de faire, mais plutôt d'y aller au rythme du temps. Je voulais poursuivre ma Légende Personnelle, comme dans l'Alchimiste. :) Vivre au moment présent et écouter mon cœur.

Une de mes raisons principales de ma visite était bien sûr le spectacle de Yann Tiersen que j'allais voir le 8 octobre 2010 sur la 64e rue West, à côté de Central Park et près du Lincoln Center. Une excellente raison.

Après une soirée de promenade dans la ville, je ne me sentais pas assez en forme pour sortir dans un club. Je me suis couchée vers minuit pour me lever à 9h le vendredi et partir en vitesse pour Central Park.
La douceur du matin se remarquait entre les branches d'arbres. New York était éveillé quand je m'y suis rendue; il faisait chaud et la ville en mouvement se penchait sur Central Park pour que s'apaise le temps.

J'étais assise au Parc, mangeant mon bagel en admirant le paysage verdâtre. Je pouvais apercevoir le soleil brillant de ses purs rayons, les visiteurs et les dames promenant leur chient reniflant tout sur leur passage. J'entendais le son du carrousel vide de gens à l'intérieur, les calèches sur la rue et je sentais l'odeur de l'automne pratiquement arrivé, l achaleur de New York en cctobre nous laissant en manches courtes.

Après une matinée dans Central Park et un après-midi sur Times Square et Broadway, c'était le temps d'une petite sieste après une nuit comptant peu d'heures. Un repos bien mérité qui précédait un autre moment inoubliable de ma vie.

Sous un chapiteau de bois et de briques se trouvait un semblant d'église conduisant à une salle de spectacle. Une multitude de bancs d'églises formaient l'endroit. Le New York Society of Ethical Culture. J'étais dans le Concert Hall. Un endroit vieux de 100 ans.

L'excitation du spectacle était si grande en moi. J'avais si hâte de pouvoir admirer de nouveau Yann Tiersen et tous ses musiciens. Mais pas seulement eux; un orchestre aussi.
C'était mon premier voyage en dehors du Canada. Et aussi, mon premier voyage SEULE. Ceci a été l'accomplissement d'un de mes rêves en tant que rêveuse à l'âme de bohème. Un pèlerinage s'en suivra également mais pour l'instant, je garde dans mon esprit ce moment privilégié que j'ai pu vivre en trois jours d'indépendance dans cette métropole et ce monde bondé.

Et cet homme qui, à mes yeux de jeune artiste, est un génie d'un genre qui n'existe pratiquement plus. Un musicien de haut calibre pouvant exprimer toute émotion réalisable, profiter des temps nocturnes ou des horizons naturels afin de conquérir les âmes du monde. En lui demandant ce qui l'inspire le plus pour la composition de ses pièces, il m'a répondu: "La vie". Et bien Yann, sache remercier la vie, car ceci dit, il m'aide grandement à m'accomplir dans la réalisation de mes rêves les plus fous, et surtout, il sait vivre tout comme moi, sa grande et bien dûe Légende Personnelle.


Mes vidéos:







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Yann Tiersen, mes préférées:


mardi 10 août 2010


C'est fou comme je suis accro au rythme de nuit
Me balader la nuit dans la noirceur de la ville
Pendant que le soleil ronfle et que les voitures défilent lentement
J'ère dans ces rues désertes entourées de lampadaires solitaires


Comme disent si bien les paroles de cette chanson:

Memory comes when memory's old
i am never the first to know
following this stream up north
where do people like us float?

there is room in my lap
for bruises, asses, handclaps
i will never disappear
for forever, i'll be here

whispering
morning keep the streets empty for me
morning keep the streets empty for me

i learned to not eat the snow
my fur is hot, my tongue is cold
on a bed of spider web
i think about to change myself

a lot of hope in one man tent
there's no room for innocence
so take me home before the storm
velvet mites will keep us warm

uncover our heads and reveal our souls
we were hungry before we were born
uncover our heads and reveal our souls
we were hungry before we were born
uncover our heads and reveal our souls
we were hungry before we were born
uncover our heads and reveal our souls
we were hungry before we were born


mercredi 4 août 2010

Il est difficile de penser aux hommes et de réellement leur faire confiance avec tout ce que j'ai pu vivre au cours de ma vie. Il est vrai que généraliser n'est certes pas la solution, mais je ne crois plus au fait qu'au minimum un homme pourrait ne pas me tromper, voir ailleurs ou pire encore, accepter mon corps tel qu'il est et/ou ne pas préférer le visage ou le corps d'une autre femme. J'ai été vivement blessée dans le passé et cela règne encore dans mon esprit, à un point tel que les hommes me répugnent pratiquement. Je tente de vivre ma vie sans penser aux hommes et aux méchancetés que j'ai pu recevoir. Consciente que cela est probablement un mécanisme de défense que mon mental m'inflige, j'essaie de relaxer mes muscles, mes nerfs et mon âme afin de me concentrer sur les choses importantes et positives de ma vie. Je dois parler à mon "coach", Marc, lundi qui arrive, de tout ce qui me tracasse. Je vois que depuis des années j'évolue de plus en plus spirituellement et psychologiquement. Je m'éveille de plus en plus et découvre la vie telle qu'elle est; j'ai l'impression que dans le passé, mon esprit était recouvert d'un voile m'empêchant de voir la réalité, mais seulement les trucs superflus.

Je m'aime et je m'accepte telle que je suis, maintenant dans le moment présent.

mardi 3 août 2010

Une journée toute
en tendresse...



Même le petit escargot nous y accompagne!

Le temps de faire à souper...


Et le temps de créer...


Pendant que le chat se met à nous regarder!


Moi aussi, ça fait longtemps
que j'ai peint!




Au revoir!







lundi 2 août 2010

Une superbe journée; je n'aurais pu demander mieux. Très humide température je l'avoue certes, mais la promenade au soleil que Monique et moi avons fait était agréable. Une visite au magasin pour l'achat de peinture à l'eau et une petite commande à l'épicerie pour un souper santé. Légumes frais, pâtes et poitrines de poulet. Pour le dessert; yogourt aux fruits et granola. Arrivés à la maison, nous aérons la place pour tuer un peu l'humidité. J'installe le carton blanc et avide d'idées sur la table. Je débute la session de peinture et incite Monique à m'y joindre, mais la gêne et l'orgueil s'emparent d'elle. Nul est le point d'en faire une compétition; elle comprend donc que ce n'est qu'un loisir et se joint à moi. L'imagination qu'elle a depuis la tendre enfance n'est pas morte; elle se fait toujours aussi créative et a gardé l'âme d'un enfant. Elle semble garder une sensibilité extrême à la vie et aux autres, un regard attentionné et philosophe. J'en demeure grandie chaque fois que je reviens d'une visite chez cette femme inspirante et attentionnée.

mercredi 28 juillet 2010

Ma première journée de travail était sublime! Bien entendu tout comme d'habitude, cela a débuté avec un certain stress, ce qui est normal ne connaissant pas la situation ni avec qui j'allais travailler.

Je débarque. Station Verdun, midi 30. J'ai à peine le temps de me procurer ce dont j'ai besoin avant de débuter; un peu de nourriture. Le ciel est grisâtre et l'air se fait lourd, mais rien ne m'enlève la hâte de me rendre chez la dame. Je marche tête haute vers le domicile de Monique.

Petite dame, les yeux pétillants de vie. La pièce avoisinante au couloir est le salon, rempli de livres qui débordent de la bibliothèque. Sur la table, le sofa, la table, il y en a partout. Les deux chats dorment paisiblement pendant mon entrée pourtant précipitée. Je me présente, elle est déjà ravie de m'avoir dans sa demeure.

Monique aime: les livres, les livres et par dessus tout, les livres. Souvent elle les prend, les déplace afin de bien les ranger, enfin.

Elle aime aussi la musique classique. L'opéra, les casse-tête et la cuisine. Une dame âgée plutôt de très bonne compagnie, très gentille.

Je vais faire l'épicerie avec elle pour le souper. Plus de plats congelés pour elle, voyons. C'est le temps de bien manger, manger santé. Salade de légumes frais et pâtes au pesto et fromage avec une compagnie plaisante. :) Je coupe les légumes, elle ne se rappelle plus trop comment le faire; je lui montre. Elle m'aide pour préparer la salade; je fais les pâtes. On discute de tout et de rien! Prendre une marche lui a fait du bien, elle qui demeurait seule et enfermée toute la semaine.

Un casse-tête égyptien! Pour moi, c'est l'occasion de la divertir tout en travaillant ma patience (750 morceaux..!). Ouf, compliqué ce casse-tête.. Un vrai casse-tête, c'est le cas de le dire!

Elle me répète des questions plusieurs fois, mais ce n'est pas grave. J'ai du plaisir
à discuter et à passer du temps avec Monique. Oui! Ce n'est pas un travail, c'est comme du bénévolat pour moi, je ne peux à peine y croire. Ce n'est réellement pas comme en CHSLD! FINI les longues heures de travail pratiquement non rémunérées! Et j''ai VRAIMENT du temps à passer avec elle, je peux réellement sentir l'accomplissement personnel dont je cherchais.

J'ai hâte de me
rendre au - travail? - ce jeudi. Vraiment. De créer des activités avec elle!
Oui. Je vais apporter des feuilles ainsi que des crayons de couleur, nous allons aller au parc tout près de chez elle (rue de l'Église coin Moffatt) et dessiner en nature puisqu'il annonce une belle température. :) Ensuite, pique-nique! :D


Cela fait du bien de faire ce que l'on aime.



mardi 20 juillet 2010


Le monde est une épave de rêves, une constitution de désirs
Piétons marchant au soleil levant
Les automobilistes brusquent l'instant
La ville galope à un rythme ahurissant

Mes mains déposées je touche le gazon fraichement mouillé
J'y dépose jambes, tête et pieds
Les nuages défilent lentement comme mon souffle léger
Puis le vent sait bien caresser ma chevelure foncée





dimanche 4 juillet 2010

On ne peut bloquer nos pensées. Elles sont comme des vagues dans l'océan et nous ne pouvons guère les arrêter. Par contre il existe ce moyen que j'ai tenté et c'est la contemplation de mon esprit; l'observation de ces mécanismes d'auto-défense que je me suis créée.

Qu'as-tu comme pensée?
Es-tu réellement certain(e) que c'est vrai?
Lorsque tu crois à cette pensée, quelles émotions ressens-tu?
Crois-tu qu'il y a une raison paisible de penser cela?

Souvent nous nous créons des concepts et nous y croyons. Notre angoisse ainsi que notre peur nous font réagir et nous VOULONS croire à ces situations. Mais ce n'est pas la réalité.

Certains individus croient qu’ils ne sont pas responsables de leurs pensées. Celles-ci leurs viennent à l’esprit sans qu’ils les aient réellement désirées. Ces individus se considèrent comme étant plus ou moins à la merci de leurs pensées. Si ces pensées sont positives, ils en récoltent les bénéfices; si, au contraire, elles sont négatives, ils en subissent les conséquences néfastes.

Il faut savoir qu’il est possible de bien gérer nos pensées pour faire en sorte de n’accueillir en nous que celles qui font du bien en matière de santé. Il est capital de réaliser qu’on peut écarter les pensées qui sont négatives. Lorsque de telles pensées se présentent à l’esprit, on peut immédiatement les éloigner en les remplaçant par d’autres plus positives.

La personne qui prend ainsi l’habitude de bien gérer ses pensées, sera évidemment beaucoup moins affectée par les pensées négatives. Même si celles-ci se présentent souvent, le fait de les écarter immédiatement et systématiquement ne leur permet pas d’exercer une emprise sur nous. C’est en ce sens qu’on peut dire qu’il est possible de contrôler adéquatement nos pensées. Il suffit de leur prêter une attention soutenue et éclairée.

Lorsqu’il est question de pensées, il convient de bien en discerner les différentes facettes. Dans ce qu’on appelle en général nos pensées, il faut évidemment inclure nos impressions, nos sentiments et nos émotions. En fait, il est question ici de tout ce qui peut nous influencer psychologiquement.

Dans l’approche HYGIONOMISTE® (on peut lire divers documents portant sur cette approche en cliquant à l’endroit approprié sur la page d’accueil du présent site), il est question des facteurs naturels de santé. Parmi ces facteurs, il est fait mention du comportement psychologique, de la maîtrise des émotions et de l’aspect spirituel. Ces trois derniers facteurs touchent au contrôle de nos pensées.

L’individu qui exerce un bon contrôle de ses pensées, voit nécessairement sa santé s’améliorer. Un tel contrôle lui évite de nombreux stress inutiles. L’individu parvient ainsi à mieux digérer, à mieux assimiler, à mieux éliminer, à mieux récupérer et à mieux mobiliser son pouvoir d’autoguérison.. Au lieu de perdre de précieuses énergies en se laissant envahir par des pensées négatives, il dispose d’une énergie supplémentaire qu’il peut consacrer à diverses fonctions vitales.

Nos pensées, nos impressions, nos sentiments, nos émotions devraient toujours être orientés vers ce qui est bon, ce qui est bien et ce qui est beau. Nos pensées doivent nous diriger vers l’amour, l’harmonie, la sérénité et le bonheur. En contrôlant dans ce sens la qualité de nos pensées, nous ne pouvons qu’en récolter les bienfaits. Les personnes qui désirent jouir d’une bonne santé, doivent donc bien gérer leurs pensées, leurs impressions, leurs sentiments et leurs émotions.


Du contrôle des pensées à la gestion des émotions

Le mental et la vie sont les deux effets corrélatif du même phénomène” disait le Bouddha. Nous créons tous notre propre réalité ! Le savoir c’est bien, l’appliquer c’est mieux ; sauf que ce n’est pas si simple. Comme pour tout il faut de l’entraînement. Et cet entraînement commence par la méditation. (Le calme mental) La méditation est excellente pour le contrôle des pensées et la gestion des émotions. Je dirai même plus c’est la base ! Ce n’est pas pour rien que les traditions l’utilisent depuis la nuit des temps pour calmer, ralentir ou concentrer le flux nerveux. (Chi)

Contrôler le corps aide à apaiser l’âme, ce qui permet à l’être tout entier de se concentrer en vue de la projection et de l’action afin de permettre la réalisation de choses positives. Contrôler notre présent permet de mieux se projeter dans l’avenir. La visualisation consciente et positive nous aide à concrétiser nos idées ; nos pensées, et à mieux gérer nos aspirations, nos émotions en vue de leur matérialisation dans un futur proche. Nous sommes le centre du monde et celui-ci est le reflet de nos pensées. Demande et il te sera donné, frappe et l’on t’ouvrira nous enseignent encore une fois toutes les traditions. (Je suis) La loi de l’attraction nous enseigne également par “le génie” qu’il ne dépend que de nous de demander pour que celui-ci réalise nos vœux.

Parfois nous pensons à des choses sans importance, et comme par magie et sans qu’on sache pourquoi celles-ci se matérialisent dans un labs de temps très court. C’est si souvent tellement dingue que nous en sommes les premiers surpris ! Je pense que c’est une question d’énergie ; pour faire court, une forme de fréquence vibratoire, elle-même amplifié par l’intention. Le tout dans un total détachement !

Il est dit que nous sommes dans une période (2009) ou il y a accélération de la conscience. Nous sommes dans une période où l’humain est capable de tout réaliser. Nous avons en chacun d’entre nous la force et le pouvoir de matérialiser ce que nous souhaitons arriver de tout cœur dans nos vies. Je me répète : La base (le secret), c’est la conscience ! Le secret réside dans l’état de conscience. Il ne dépend que de nous de le comprendre, pour enfin voir se réaliser ce que nous souhaitons tant. Sachant bien sûr que l’intention et l’attraction vont de pair.

La conscience concentre l’énergie au niveau de l’esprit, c’est l’intention de l’âme.



Quelques semaines sont passées depuis mon avortement et je m'en porte très bien. J'ai réussi à comprendre que c'était pour le mieux et que je n'était tout simplement pas prête. Je me sent plus sereine que jamais. Une étape difficile à surmonter mais que je suis tout de même contente d'être passée à travers; dans le sens qu'elle m'a rendue plus forte.

Nous ne pouvons vivre d'autres moments que le moment présent. J'aime aussi énormément les citations de Krishnamurti.

L'éducation conventionnelle ne nous permet d'atteindre que très difficilement à une pensée indépendante. La conformité mène à la médiocrité.

Tenter de résoudre les nombreux problèmes de l'existence à leurs niveaux respectifs, isolés tels qu'ils sont dans leurs catégories, indique un manque complet de compréhension.
L'instruction ne doit pas être un simple entraînement de l'esprit. Entraîner l'esprit c'est le rendre efficient, ce n'est pas le mener à la plénitude.

L'intelligence est la capacité de percevoir l'essentiel, le « ce qui est ». Éveiller cette capacité en soi-même et chez les autres, c'est cela l'éducation.

L'éducation devrait éveiller la capacité de se percevoir soi-même et non une complaisance pour l'expression de la personnalité.

L'éducation dans le vrai sens de ce mot consiste à comprendre l'enfant tel qu'il est, sans lui imposer l'image de ce que nous pensons qu'il devrait être.
Avoir un esprit ouvert est plus important qu'apprendre ; et nous pouvons ouvrir notre esprit, non en le bourrant de connaissances, mais en étant conscients de nos pensées et de nos sentiments, en nous examinant attentivement nous-mêmes, en percevant les influences qui nous entourent, en écoutant les autres, en observant les riches et les pauvres, les puissants et les humbles. La sagesse n'est pas le fruit de la peur et de l'oppression ; elle surgit lorsqu'on observe et comprend les incidents quotidiens, dans les relations humaines.
Ce n'est que dans la liberté individuelle que l'amour et l'humain peuvent fleurir ; et seule une éducation basée sur la connaissance de soi peut offrir cette liberté.
Tant que nous prendrons le succès pour but, nous ne serons pas affranchis de la peur, car le désir de réussir engendre inévitablement la crainte d'échouer. Voilà pourquoi l'on ne devrait pas enseigner aux jeunes le culte du succès. La plupart des personnes recherchent le succès sous une forme ou une autre, que ce soit sur un court de tennis, dans le monde des affaires, ou en politique. Nous voulons tous être parmi les premiers, et ce désir ne cesse d'engendrer des conflits en nous-mêmes, ainsi qu'entre nous et nos voisins. Il mène à la compétition, à l'envie, à l'animosité et finalement à la guerre.
Le monde que nous avons créé est si superficiel, si artificiel, si laid, quand on le regarde derrière le rideau ! Mais nous décorons le rideau en espérant que, d'une façon ou d'une autre, les choses s'arrangeront à peu près.



mardi 22 juin 2010

Salut trésor,

Je sais que tu es au courant de ce que je t'écris.
Je t'ai senti tout au fond de mon intérieur.
Pour la première fois de ma vie, j'ai eu le frisson en ayant une vie intérieure.

Mon amour, tu sais, ça me fait énormément de peine de te laisser comme cela.

Mais sache que cela n'est pas un abandon.

Car je suis persuadée que tôt ou tard,

Tu viendras te reformer en moi,

Comme la pluie se forme dans les nuages
et comme les jours se créent en suivant de près le coucher de soleil qui se réveille en nuit.
Il est douloureux de
ne plus te sentir en moi,
mais je sais que ce n'est pas le meilleur moment.
Pour moi et pour toi aussi mon coco.
Je sent ton toucher près de moi maintenant,
tu m'as compris n'est-ce pas?
Ce n'est pas possible pour moi présentement
Mais le jour arrivera
Ce jour où je saurai t'aimer convenablement
Te dorloter jusqu'au matin levant
Caresser ta frimousse
Me balader avec toi au soleil couchant
Sous cette douce brise de vent
Je t'aime trésor,
à bientôt!

Tout mon amour



vendredi 18 juin 2010

Petite étoile

Des étincelles toutes en parcelles, un petit puit de lumière. Tu t'es créé et procréé de façon imaginative. Ton antre de soie et tes futures mains et doigts. Un désir pour la vie que le destin a envoyé dans ma panse, définitivement trop rapidement, amour. Je connais ton désir d'attachement petite étoile, déjà j'ai senti la douceur de ton essence. Tu étais un amas de cellules rayonnantes comme la rosée de l'aube toute fraîche. Reviens vers moi plus tard et je t'accueillerai, petite étoile. Love.


mercredi 16 juin 2010

Baby in the sky with diamonds



Respire un bon coup
Ne reste pas debout
Ouvre tes yeux
J'te promets que tu iras mieux

T'as reçu un grand coup
Un coup de vie dans l'ventre
Un coup de vent dans ta vie
Mais reste calme, je t'en supplie

Juste au mauvais moment
Une poussière d'ange t'est tombée dedans
Tu f'rais une super maman
Mais pas maintenant, non pas maintenant

Un p'tit colimaçon t'a pris pour sa maison
C'est pas une fille, c'pas un garçon
C'pas un bélier ni un poisson
Oublie ça c'est pas possible
Tu perdrais l'équilibre
Prends ma main je t'emmène loin
On s'ra d'retour demain matin

On s'en va reporter
L'ange dans ses souliers
Il s'est trompé mais c'est pas grave
Il peut revenir si tu restes sage
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Nous nous reverrons...
Dans cette vie ou dans un autre univers,

Je guiderai tes horizons,

Je serai prête à mieux t'aimer

T'avoir comme fille ou garçon
Je serai ta mère étant fidèle

Maintenant, vole de tes ailes.

Je t'aime, bébé.

Au revoir!
Marjolaine