samedi 5 juin 2010

Peut-être me lirez-vous, peut-être ne me lirez-vous pas.
Mais il me fait du bien d'écrire ces quelques lignes.
En ce moment même, mon cœur baigne entre la douleur du passé
et le moment présent qui ne cesse de se faufiler.
Comme si les gens tentaient de venir m'arracher la vie
Craignant que mon corps et mon cœur ne soient permis.
Mes mains tremblent d'effroi
Car ma vie me semble un combat...
Mes pensées courent et viennent comme la tempête non sereine
La peur du rejet m'étrangle
Corps idéaux partez
Ne revenez pas car vous ne faites que me unir
Garçons superficiels restez comme vous êtes
Car rien ne changera mon âme de poète,
Femmes découpées demeurez telles que vous le désirez
Pas un seul individu ne saura changer mon corps sacré.
Je suis moi-même un être de sérénité
Qui sait vivre d'amour, de paix et de bonté
Nul sait en profiter celui ou celle qui se moque
De mes pensées ou de mon corps.

Et voilà que j'ai évolué
Fini le temps qu'on se sent pourchassé
La vie est une quête de liberté
Émotionnelle autant que de vérité!!

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