mardi 20 juillet 2010


Le monde est une épave de rêves, une constitution de désirs
Piétons marchant au soleil levant
Les automobilistes brusquent l'instant
La ville galope à un rythme ahurissant

Mes mains déposées je touche le gazon fraichement mouillé
J'y dépose jambes, tête et pieds
Les nuages défilent lentement comme mon souffle léger
Puis le vent sait bien caresser ma chevelure foncée





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